Journée d'étude sur l'aviculture organisée à l'Institut Royal des Techniciens spécialisés en Elevage Fouarat - Kénitra 2012
Le programme de ladite journée a prévu un séminaire sur « les impératifs de la Qualité en Aviculture » et une session du Conseil de Perfectionnement des Etablissements de Formation Professionnelle Agricole du Réseau Gharb Chrarda Beni-Hssen, à laquelle sont conviés des représentants de l’administration, des associations et organisations professionnelles et, des professionnels membres du réseau des exploitations partenaires de notre établissement.
Cette journée a connait une réussite setenu soit à travers la qualité de l'organisation soit à travers la présence de differnts intervenants ( les cadres de départemnt d'agriculture, des professeurs , des cadres de l'institut et des technciens anciens luaréats de l'institut,,,)
La journée à éte ouvert par le mot de bienvenue de Monsieur le Lt-Colonel Directeur de L'IRTSE;
L'allocution de Monsieur Directeur de la DEFR;
L'allocution de Monsieur le Directeur de la DRA;
L'allocution de Monsieur le Président du Conseil de Perfectionnement ;
Aprés l'ouverture de la journée , les différents intervenants ont commencé leurs exposés sur les impératifs de la qualité en aviculture; et la formation par appentiisage:
Théme 1 : Importance de l'hygiéne en aviculture par Dr khalid BOUZOUBAA
Thémé 2 : Démarche qualité au sein d'une unité de fabrication d'aliemnst composés par Mr Abdelkabir OUHAGA
Théme 3 : Contribution de l'IRTSE Fouarat dans la recherche appliqué en aviuclture
La quatérieme intervention a été présenté par Mr El gdari surveillant général de l'IRTSE sur la formation par apprentissage des jeuns ruraux dans les métiers d'élevage, et le bilan des réalisations et perspectives.
Théme 1 : Importance de l'hygiéne en aviculture par Dr khalid BOUZOUBAA
Ex professeur et chef du département de pathologé aviaire à l'IAV Hassn II Rabat
Résumé:
Pour pouvoir extérioriser le potentiel génétique dans les productions avicoles des œufs, de la viande, de l’éclosabilitée et de la viabilité des oiseaux, il est nécessaire de bien respecter les règles d’hygiène.
Une des clés de la réussite des élevages intensifs est l’application des mesures d’hygiène.
L’hygiène occupe la première place dans la prévention des pathologies aviaires quelle que soit son étiologie virale bactérienne, mycosique, parasitaire ou autre car elle permet de baisser le niveau de pression des agents pathogènes au sein de l’élevage.
Pour réussir une entreprise avicole il existe certaines conditions à respecter qui sont en nombre de quatre :
- Bon poussin : en bonne santé, ne portant pas de germes pathogènes dangereux.
- Bons bâtiments : où les conditions de confort sont assurées.
- Bon aliment : du pont de vue quantitatif mais aussi qualitatif permettant d’extérioriser
le potentiel génétique du poussin.
- Bonne gestion : technique, administratif et financière.
Ces quatre points ont en commun un facteur très important qui est l’hygiène et le rôle du microbisme.
Objectifs :
- Les jeunes sont très sensibles aux maladies car leur système immunitaire est non encore développé et vu que les bâtiments sont très contaminés en fin de d’élevage pour ceci le premier objectif c’est de préserver la santé des futurs poussins à élever.
- Assurer une bonne qualité des produits avicoles en limitant les toxi-infections dues à la consommation des produits contaminés. On tire de ces objectifs l’importance de la décontamination des unités avicoles pour réduire au maximum le microbisme.
Principes :
Dans le temps :
- Élevage en bande unique : adopter le système all in all out pour éviter le risque des cross-infections.
- Décontamination en fin de bande
- Maintien des bonnes conditions d’élevage pour empêcher la recontamination et l’augmentation du microbisme.
Dans l’espace :
- La localisation : l’installation de l’élevage doit être loin des régions à forte concentration, le minimum de distance acceptée c’est 500 m mais il est préférable qu’elle soit de l’ordre d’1 km ,
Il faut prendre en considération aussi la direction du vent pour minimiser les risques de la contamination par voie aérienne.
Importance du microbisme :
Définition :
Le microbisme est l’ensemble d’agents microscopiques nuisibles ou utiles ou indifférents dans un milieu donné, ces agents peuvent entre des virus, des bactéries, des parasites microscopiques ou des champignons microscopiques
Leur taille est de l’ordre de :
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Composition
- Agents pathogènes primaires à virulence élevée.
- Agents pathogènes secondaires : les germes de complication
- Agents saprophytes opportunistes attendant les conditions favorables pour surgir.
- Agents utiles faisant partie de la flore normale du corps et participant au métabolisme et au fonctionnement normal de l’organisme.
Origine du microbisme :
sources principales
- L’oiseau : multiplication, et excrétion des germes dans le milieu extérieur
-Milieu extérieur : si conditions favorables, multiplication des germes dans le milieu extérieur.
Facteurs de variations:
Les plus importants sont :
- Origine du poussin ou le couvoir d’origine
- La densité des sujets : plus le nombre des oiseaux est élevé plus le microbisme est important.
- Situation géographique : plus la concentration en élevages avicoles dans la même zone est élevé plus le microbisme est important
- Conduite et gestion d’élevage.
- Temps d’occupation des locaux : le microbisme est plus important dans l’élevage des reproducteurs que celui de poulet de chair.
- Degré d’application des mesures hygiéniques pour décontaminer les bâtiments
La biosécurité sanitaire dans l’élevage avicole
La biosécurité c’est la protection de l’élevage contre toute contamination extérieure ou intérieure entre les bandes des animaux.
Pour y parvenir il faut maîtriser deux points essentiels qui sont le flux des personnes et des animaux et en deuxième lieu celui du matériel.
Flux des animaux et de personnes :
- Grillager les aires autour des bâtiments pour éviter les entrées imprévues d’animaux ou de personnes.
- Nettoyer les abords des bâtiments pour lutter contre les oiseaux et rongeurs sauvages.
- Propreté du personnel :
- Se doucher avant d’entrer dans l’élevage.
- Lavage des mains avant d’entrer dans les bâtiments d’élevage.
- Port des habits propres réservés à l’élevage.
- Port de surbottes et des blouses jetables.
- Installation de pédiluves devant chaque bâtiment
- Limitation des visiteurs.
Flux de matériel :
- Contrôler la qualité de l’aliment, l’eau, et la litière utilisée dans l’élevage.
- Désinfection de tous véhicules entrant dans élevage.
- Interdire la circulation des véhicules autour des bâtiments.
- Interdire la circulation des véhicules autour des bâtiments.
La désinfection et le vide sanitaire
- Elevage avicole intensif favorise l’infection virale, bactériennes, parasitaires et mycosiques ce qui entraîne des cas de morbidité et de mortalité, variables en fonction des mesures prophylaxie prises pour les prévenir.
- La seule façon de briser le cercle vicieux infernal à l’infection est d’appliquer à chaque fin de bande un nettoyage, une désinfection suivie d’un vide sanitaire : le lavage et la désinfection peuvent être précédés par une lutte contre les rongeurs et les insecticides.
Préparation à la désinfection :
- Vidange des chaînes alimentaires et des silos et vidange des circuits d’eau et les systèmes d’abreuvement : retirer le matériel d’abreuvement d’alimentation de chauffage en dehors du bâtiment.
- Dépoussiérer les parties hautes du local.
- Désinfection de la litière
Avant d’envisager l’évacuation de la litière, il faut penser à la traiter par des insecticides et si le bâtiment a déjà été contaminé par des maladies contagieuses grave (salmonellose et maladie de Newcastle), il faut assainir cette litière par des solutions désinfectantes virucides ou bactéricides afin d’éviter leur dissémination dans le voisinage.
-Raclage et balayage du sol et des parois.
- Les surfaces lisses des bâtiments est à conseiller car leurs nettoyage assure une diminution du microbisme jusqu’à 70 %
Nettoyage :
Le sol, les mures, les plafonds, les lanterneaux ou les gaines de ventilation seront nettoyés par une pompe haute pression contenant de l’eau chaude ou de la vapeur de l’eau chaude à 140°C (double action physique et chimique ).
Mais il existe certains risques pour l’opérateur en plus de la vapeur qui gêne sa vue.
Pour cela vaut mieux utiliser une pompe haute pression à eau froide à laquelle on ajoute une solution détergente.
Le nettoyage se fait en deux temps :
- Mouillage ou trempage des surfaces pour qu’elles s’amollissent par la pénétration du liquide détergent.
- Le nettoyage proprement dit par un jet à haute pression qui va décaper, décoller et évacuer les saletés adhérentes aux surfaces.
On peut aussi compléter la désinfection par une fumigation des locaux.
Matériel et équipement :
Tout le matériel d’élevage doit être nettoyé et désinfecté à l'extérieur du bâtiment pour cela il faut préconiser une aire pour faciliter ce travail :
- Démonter tout le matériel.
- Arroser le matériel avec une solution détergeant et laisser agir quelques heures.
-Désinfection proprement dite
- Rinçage
-Pour les silos il vaut mieux les fumiger pour limiter tout risque de contamination par les moisissures.
Nettoyage :
- Trempage ( AQ, eau de javel ).
- Brossage.
- Rinçage.
- Trempage 30min dans une solution iodée ou phénolée.
- Décontamination des bâtiments :
- Décontamination des bâtiments car les résidus organiques inhibent l’action des désinfectants : un derivé phenolique à 1-2 %
Désinfection de bâtiments hermétiquement fermés
Vide sanitaire :
C’est le temps entre la première désinfection et le rechange des bâtiments jusqu’à l’introduction d’une nouvelle bande en d’autre terme c’est le temps nécessaire pour le séchage des bâtiments.
Opération supplémentaire
- Nettoyer les abords des bâtiments : toitures, écoulement des eaux, fossés, ouvertures
- Vider et nettoyer les fosses à lisiers et les nettoyer soigneusement.
- Lutter en permanence contre les rongeurs pendant le vide sanitaire et poser des aplats empoisonnés hors des volailles en périodes d’élevage ( substances utilisées : dérivés de coumarine, derivés, indaneedione..)
- Mettre en place des barrières sanitaires : chaux vive aux entrées et autour des batiments, pédiluves : solution de phénol, eau de javel, iodophores et changés régulièrement changés et nettoyés, bottes, cottes vêtements propres.
- Terre battue : chaux vive.
Semaines précédents l’arrivée des poussins
- 3 à 4 jours avant l’arrivée des poussins, on dépose la litière saine et le matériel d’élevage, chauffer le bâtiment, désinfection par voie aérienne : formol, phénols
- 2 jours avant : On effectue un traitement insecticide, chauffer le bâtiment, désinfection par voie aérienne : formol, phénols
- 2 jours avant : on effectue un traitement insecticide.
Thémé 2 : Démarche qualité au sein d'une unité de fabrication d'aliemnst composés par Mr Abdelkabir OUHAGA
Technicien en aviuclture lauréat de l'IRTSE fOUARAT, Master en Biotechnologie et Démarche qualité , cadre à la société agro-food industrie Marrakech;
Résumé:
L’industrie de la provende a pour rôle de formuler et de fabriquer des aliments composés susceptibles de couvrir l’ensemble des besoins des différentes catégories d’animaux, mais dans les meilleures conditions économiques.
Actuellement, cette industrie est composée de 40 unités en activité réparties dans les différentes régions du Maroc, avec une concentration dans l’axe Kénitra-Casablanca. La capacité de production est estimée à 4 millions de tonnes par an dont 97% est destinée au secteur avicole.
Dans le cadre du Plan Maroc Vert, le ministère de l’agriculture et de la pêche maritime a annoncée un projet de développement, aussi bien pour la filière avicole que pour la filière des viandes rouges, et dont les objectifs sont l’augmentation de l’offre en volume et l’amélioration de la qualité des produits. A cet effet, les entreprises marocaines de fabrication d’aliments composés sont appelées à augmenter la production tout en garantissant la qualité des aliments pour animaux. Alors pour que ces entreprises soient productives et compétitives, elles doivent améliorer leurs stratégies de travail.
Dans les dernières décennies, on entend parler toujours de la qualité. Cette dernière peut être considérée comme méthode de travail, et elle peut ainsi apporter beaucoup à l’industrie de fabrication d’aliments composés. Bien que la démarche qualité soit un outil de changement créant une dynamique de progrès continu dans le fonctionnement de l’entreprise et la satisfaction de ses clients, elle est le moyen le plus adapté aux besoins de cette industrie, ainsi le mieux placé pour répondre aux objectifs tracés par le ministère. De plus, elle favorise la pérennité et le développement des entreprises. A noter aussi que la démarche qualité est avant tout un véritable projet d’entreprise participatif qui doit être porté par la direction et impliquer tout le personnel.
Pourquoi se lancer dans une démarche qualité ?
On s’engage dans une démarche qualité pour améliorer ses performances. La démarche qualité est un outil stratégique destiné à atteindre les objectifs (internes et/ou externes) fixés par la direction. Le tableau suivant présente certains objectifs internes et externes
Objectifs internes |
Objectifs externes |
Réduire les disfonctionnements, Réduire les coûts de non qualité et augmenter les marges, Fiabiliser les contrôles et les processus, Améliorer les méthodes de travail, Faciliter l’intégration des nouveaux collaborateurs, Mettre en place une organisation efficace orientée résultats, Motiver le personnel autour d’un projet d’entreprise, Mieux piloter les processus et responsabiliser les équipes, Accompagner et maîtriser la croissance de l’entreprise, Disposer d’une base solide pour une démarche QSE (Qualité, Sécurité, Environnement), … |
Améliorer la qualité des produits et services, Placer le client au cœur de l’entreprise, Mieux identifier et anticiper les besoins des clients, Améliorer la satisfaction des clients et les fidéliser, Conquérir de nouveaux marchés, Améliorer et valoriser son savoir-faire et son image, Instaurer un climat de confiance avec les clients, Se démarquer de la concurrence, Obtenir une reconnaissance externe (exemple de la certification iso 9001 : 2008), …
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Dans notre travail (projet de fin d’études), que nous avons réalisé au sein d’une jeune entreprise de fabrication d’aliments composés, nous avons été appelés à entamer une démarche qualité. Alors, suite à un commun accord avec le directeur général de l’entreprise, nous nous sommes mis d’accord à travailler sur le contrôle de la réalisation des produits et la mise en place des procédures.
L’entreprise est membre de l’AFAC (Association des Fabricants d’Aliments Composés), nommée SAVOB, c’est une société de fabrication d’aliment pour volaille et bétail.
Dans un premier temps, notre travail a été basé sur l’élaboration d’un système de contrôle lors de la réalisation du produit fini, dont le but est de veiller sur les bonnes pratiques de fabrication, relever les erreurs, les défaillances et les pertes au cours de la réalisation, ainsi diminuer les réclamations des utilisateurs et assurer la qualité de l’aliment.
Ce travail a fait appel à trois outils qualité, le brainstorming, le diagramme des 5M et le QQOQCP.
Le brainstorming
Le brainstorming est une technique de génération d’idées qui stimule la réflexion créative lors de la recherche de solutions pour un problème donné.
Le diagramme des 5M
Le diagramme des 5M est une méthode permettant de présenter d’une façon claire toutes les causes qui produisent (ou peuvent produire) un effet donné en les classant en différentes familles.
Le nom « 5M » vient de l’initial de chaque nom de famille utilisée : Main d’œuvre, Matière, Méthode, Milieu, Matériel. Cette méthode permet d’aboutir à une vision commune et non hiérarchisée des causes génératrices de l’effet observé.
Le QQOQCP
Le QQOQCP est une méthode pour éclaircir une situation donnée, décrire un processus et planifier des actions. Elle pose 6 questions relatives à cette situation afin de collecter le maximum de données : Qui ?, Quoi ?, Où ?, Quand ?, Comment ?, Pourquoi ?.
La mise en œuvre de ces outils pendant notre travail, a aboutis à définir la procédure et la méthodologie que nous avons appliqué au sein de l’usine afin de contrôler les produits finis au cours de leurs fabrications.
Par la suite, et compte à la réalisation des procédures, nous avons opté pour l’outil QQOQCP. Les procédures sont figurées dans le manuel qualité, et elles sont nécessaire pour mener à bien une démarche qualité, ainsi une bonne gestion au sein d’une société.
La réussite d’une démarche qualité dans une entreprise a lieu tout simplement s’il existe un engagement réel de la direction, et si l’entreprise dispose d’un personnel qualifié.
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Théme 3 : Contribution de l'IRTSE Fouarat dans la recherche appliqué en aviuclture
Mr Embaraek AZEROUAL, Ingénieur et responsable de la sattion avicole de l'IRTSE Fouarat Kénitra
Résumé:
L’Institut Royal des Techniciens Spécialisés en l'élevage de Fouarat (IRSTEF) est un établissement qui forme des techniciens spécialisés dans les filières suivantes : Elevage des Ruminants, Qualité des Produits Animaux et d’Origine Animale et Aviculture. En plus de sa mission pédagogique, l’Institut a lancé des projets de recherche appliquée et de développement au service de l’élevage en général, et de la filière avicole en particulier. Cette plaquette relate et résume l'ensemble des axes de recherche du pôle Aviculture notamment ceux entrepris dans le cadre du Concours Général de la formation professionnelle et de la convention de partenariat qui a été signé entre l’IRTSEF et l’Université Ibn Tofaïl de kénitra en Avril 2009. Ces travaux ont été réalisés en collaboration avec le Laboratoire de Génétique-Neuroendocrinologie et Biotechnologie Sciences.
Auteurs : AMJOUT M., KRABS D et AZEROUAL E.
Ce travail a été réalisé dans le cadre de la 15ème édition du concours général organisé par la Direction de l’Enseignement de la Recherche et du Développement au titre de l’année scolaire 2002/2003. Le but est d’étudier l’effet de l’utilisation des perchoirs sur les performances du poulet de chair élevés au sol sur litière. Il consiste d’offrir aux animaux une aire de repos qui les éloigne de la zone de vie polluée connue par sa concentration élevée en gaz toxiques notamment l’ammoniac. Comme méthode d’investigation, un protocole a été installé en deux lots : un lot témoin sans perchoirs et l’autre avec perchoirs. Chaque lot renferme une population de 300 poussins type chair de même souche. Les deux bandes sont élevées sous le même toit et dans les mêmes conditions pour ne mettre à l’épreuve que la variable perchoir (présence, absence). Pour le contrôle de croissance ; des prises de gain de poids ont été enregistrées à des âges types (J1, J7, J14, J21, J28, J35, et J42) sur un échantillon de 45 poussins par lot (15%) choisi de façon aléatoire et qui ont été identifiés par bagage. Le premier perchoir conçu a une forme de prisme droit à base triangulaire de 120 cm de longueur et 60 cm de hauteur. Les chevrons à surface arrondie sont placés en forme d’escalier à 4 étages et espacés verticalement de 15 cm. Toutefois, il s’est avéré que ce modèle de perchoir par ses chevrons de forme arrondie n’offre pas une aire de positionnement tranquille aux poulets. D’où la réflexion sur la conception d’un deuxième type de perchoir qui présente la même forme et les mêmes caractéristiques dimensionnelles que le premier mais les chevrons sont à surface plate de section 6cmx2cm placés en 3 estrades espacées verticalement de 20 cm. D’après les observations qui ont été faites sur le comportement des poulets vis à vis des perchoirs, on a noté que les premières tentatives de perchage sur l’étage inférieur ont été observés dès le deuxième jour. Pour les autres niveaux, ils sont visités pour la première fois le 6ème jour, le 9ème jour et le 11ème jour pour les niveaux 2 ; 3 et 4 respectivement. L’effectif le plus élevé des poulets percheurs est observé à la 4ème semaine d’âge. En revanche la fréquence des visites des perchoirs est très remarquable pendant les périodes nocturnes. L’analyse des performances obtenues relatives au contrôle de croissance et aux paramètres technico-économiques nous a permis de dégager les résultats suivants :
Les poids vifs enregistrés à 42j a sont de 2164 grammes et 2452 grammes respectivement pour le lot témoin et le lot perchoir ; soit une différence de 20% qui est significativement différente (p<0,02).
La comparaison des gains moyens quotidiens n’a pas montré de différence entre les deux lots durant les trois premières semaines d’âge. Cependant, à partir de la 4ème semaine d’âge la différence commence à s’observer avec une supériorité des sujets du lot perchoir par rapport à ceux du lot témoin. Cette supériorité qui est significativement différente (p<0,005) est de l’ordre de 7 gr (12%), 19 gr (27%) et 13 gr (20%) durant la 4ème, la 5ème, et la 6ème semaine respectivement.
La quantité d’aliment consommée à 42j reste presque identique pour les deux lots ; soit 4,422Kg et 4,363 Kg respectivement pour le lot témoin et perchoir. Cependant, une différence est enregistrée au niveau des indices de consommation avec des valeurs respectives de 2,04 et 1,77 pour le lot témoin st le lot perchoir ; soit une différence de 20% qui est significativement différente (p<0,005).
Les taux de mortalité enregistrés à 42j sont de 2,33% et 2,00% pour le lot témoin et le lot perchoir respectivement ; soit une différence de 16,5% qui n’est pas significativement différente (p>0,02).
Les prix de revient enregistrés à 42j sont de 12,64 DH/Kg et 11,13 DH/Kg pour le lot témoin et le lot perchoir respectivement, soit une différence du coût unitaire de l’ordre de 1,51 DH/Kg (13%) au profit du lot perchoir.
En effet, l’utilisation des perchoirs dans les élevages de poulet de chair a montré son utilité aussi bien sur le plan zootechnique qu’économique. Son emploi sera sans doute plus efficace particulièrement dans les unités de production à durée d’élevage assez longues comme les élevages de poules pondeuses et reproductrices élevées au sol sur litière.
Mots-clés: Perchoir; condition d’ambiance ; bien être ; rendement zootechnique; poulet de chair.
Résumé 2 : 18ème édition 2006 (1er prix concours général, 3ème prix concours Hassan II)
Auteurs : JLALI M. et AZEROUAL E.
Ce travail s’intègre dans le cadre de la 18ème édition du concours généralde la formation professionnelle organisépar la Direction de l’Enseignement de la Recherche et du Développement au titre de l’année scolaire 2005/2006. Le projet consiste à mettre en œuvre la conception et la fabrication d'une machine appelée "LITIERATEUR". Il assure plusieurs fonctions nécessaires dans les élevages avicoles. D’abord le hachage de la paille, ensuite l’étalage et en fin l’aération et le retournement de la litière. Cette machine fonctionne suivant le principe de l’éclatement des particules frappé par une masse à grande vitesse. Il est composé principalement :
- D’un rotor muni des barres acier « marteaux » qui tournent à 1500tr/min : fonction de hachage
- D’une grille qui ferme la partie inférieure de l’espace de hachage et dont le diamètre des mailles fixe la taille des particules,
- ventilateur radial muni de quatre pâles : fonction de l’étalage et d’aération,
axe de retournement muni de dents arquées, à hauteur réglable selon la profondeur de la litière.
deux moteurs électriques (380v, 1500t/m), le premier est d’une puissance de 7.5CV pour entraîner le rotor et le ventilateur et le second moteur variateur pour entraîner les roulettes motrices et l’axe de retournement.
Mots-clés: Litiérateur ; dessin industriel, fabrication mécanique ; aviculture.
Résumé 3: 20ème édition 2009 (non primé)
Thème : Effet de l'utilisation des probiotiques sur les performances zootechniques : cas de la levure Saccharomyces cereviciae
Auteurs : BOUZIANI I., ELGUEDDARI A. et AZEROUAL E.
Le probiotique contenu dans la levure (Saccharomyces cerevisiae) a été étudié en cycle d’élevage complet de poulet de chair, afin d’en mieux cerner son efficacité dès le premier jour jusqu’à l’abattage.Les principaux résultats obtenus sont les suivants Il a été mis en évidence, en faveur du lot traité à la levure une bonne homogénéité de l’évolution pondérale des poussins durant toutes les phases d’élevage.Les poussins du lot traité à la levure ont présenté un GMQ et un I.C améliorés par rapport aux autres lots.Le taux de mortalité le plus faible a été enregistré chez les poussins traités à la levure.Ceci permettrait certainement d’obtenir des animaux en meilleur forme physique et qualité susceptibles de donner les meilleures performances en matière de qualité sanitaire pour l’homme, ce qui améliorerait le profit économique et l’utilisation des substances non médicamenteuses comme facteurs de croissance alternatives aux antibiotiques dans nos élevages avicoles.
Mots-clés:Probiotique; levure ; additif alimentaire; antibiotique; facteur de croissance; antibiorésistance; rendement zootechnique; poulet de chair.
II- Résumés des études entreprises dans le cadre de la Convention de partenariat entre l’IRTSEF et l’Université Ibn Tofaïl de Kénitra
Etude 1 : Effet Coccidiostatique de Neuf Plantes Aromatiques et Médicinales Incorporées Comme Additifs Alimentaires Dans le Régime Des Poules Pondeuses
Auteurs : E. Azeroual, A. Mesfioui, M. Oukessou, K. Bouzoubaa, B. Benazzouz and A. Ouichou.
Journal de publication: European Journal of Scientific Research. Vol. 99 No 2 April, 2013, 200-207
Résumé
Ce travail vise l’étude de l’efficacité coccidiostatique de neuf plantes aromatiques et médicinales (PAM) composées du mélange curcuma (Curcuma longa) et poivre noir (Piper nigrum), de fenouil (Fœniculum vulgar), de fenugrec (Trigonella foenum-graecum), de gingembre (Zinziber officinale), de lin (Linum usitatissimum), de millet (Milium effusum), de romarin (Rosmarinus officinalis) et de thym (Thymus vulgaris) et qui ont été incorporées en tant qu’additifs alimentaires aux doses respectives 1%, 2%, 3% de la ration journalière. Un effectif de 168 poules pondeuses de souche roux a été élevé en deux phases. La phase d’élevage au sol (0-20 semaines) et la phase de ponte en cage batterie à 3 étages (21-24 semaines). La durée de traitement par les PAM est de 30 jours à partir de la 21ème semaine d’âge. Des prélèvements fécaux ont été effectués à 15 jours d’intervalle après le début du traitement pour des fins d’examens coproscopiques. Les résultats obtenus ont démontré que la quasi-totalité des PAM testées ont exprimé un effet coccidiostatique positif dose-dépendant notamment pour le gingembre, le lin et le thym.
Mots clés: Plantes aromatiques et médicinales; additif alimentaire; coccidiostatique; poule pondeuse.
Etude 2 : Implication zootechnique du menthol cristallisé comme additif alimentaire chez le poulet de chair.
Revue de publication : Revue Marocaine des Sciences Agronomiques et Vétérinaires. Vol. 1, No 2 Mars 2013. 64-75.
Auteurs : E. Azeroual, A. Mesfioui, M. Oukessou, K. Bouzoubaa, B. Benazzouz and A. Ouichou.
Résumé
Le menthol est utilisé pour ses vertus aromatiques, culinaires, cosmétiques et médicinales. Chez l’homme, il est employé contre les troubles digestifs et l’hypotension, mais présente, également, des propriétés antiseptiques et bactéricides. En médecine vétérinaire, il entre dans de nombreuses spécialités médicamenteuses à visée respiratoire. Cependant, son usage en tant qu’additifantibactérien n’a pas encore été rapporté. L’objectif est de cette étude tester si ce produit pourrait substituer les principes chimiques incriminés d’être à l’origine d’antibiorésistance, de résidus dans les denrées alimentaires, d’écotoxicité et d’allergies chez le consommateur. Le dispositif expérimental est composé de 4 parquets abritant chacun 100 poulets type chair. Trois lots (MCd1, MCd2, MCd3) ont été supplémentés avec du menthol cristallisé (MC) dans l’eau de boisson aux doses respectives d1=0,10mg/kgPV (Poids Vif), d2=0,20mg/kgPV et d3=0,30mg/kgPV. Le quatrième lot est choisi comme témoin (T). Le traitement a duré 10 jours répartis en trois périodes différents: J6-J9, J21-J23 et J33-J35. Les résultats ont démontré que la posologie d2=0,2mg/kgPVest la plus efficace sur le plan zootechnique : poids vif total (+9,07%), gain moyen quotidien (+1,88%), indice de consommation (-5,44%), taux de mortalité (-50%). Ces résultats, bien que préliminaires, ouvrent une voie de recherche intéressante pour l’usage des produits naturels à des fins zootechniques et thérapeutiques. Cependant, des études complémentaires sont nécessaires pour élucider les effets pharmacologiques, toxicologiques et diététiques du menthol.
Mots-clés: Menthol; additif alimentaire; antibiotique; facteur de croissance; antibiorésistance; rendement zootechnique; poulet de chair.
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Etude 3 : Effet immunostimulant de quatre additifs alimentaires contre les maladies de gumboro et de newcastle chez le poulet de chair
Auteurs : E. AZEROUAL , A. MESFIOUI, B. BENAZZOUZ , A. EL HESSNI ET A. OUICHOU
Résumé
L’analyse des pathologies aviaires d’origine infectieuses diagnostiquées au Maroc [1] et au niveau international a montré la prédominance des maladies de Gumboro[2] et de Newcastle [3]. Si la prévention peut être envisagée au travers d'une vaccination en ce qui concerne les poules pondeuses ou les reproducteurs, cette stratégie n'est, toutefois, pas pertinente dans le cas des poulets de chair ; en raison des cycles de production courts, ne permettant pas l'acquisition d'une immunité active [4]. Plusieurs stratégies alternatives ont été évoquées dont l’une d'elles consiste en un renforcement de l’immunisation passive de l'animal par l'apport oral d'additifs. Le but de cette étude est de tester l’effet immunomodulateurs de quatre additifs (antibiotiques, cannelle, gingembre et levure Saccharomyces cerevisiæ). L’expérimentation a été réalisée sur 500 poulets Ross répartis en 5 parquets. La durée du traitement a été de 10 jours, répartie en trois périodes : J6-J9, J13-J15 et J20-J22. Les doses vaccinales contre le virus de la maladie de la bursite infectieuse (IBDV) ont été administrées à J7 avec un rappel à J14 et celles contre le virus de la maladie de Newcastle (NDV) à J7 avec un rappel à J21. Les titres d'anticorps ont été analysés par le test ELISA à J18 et à J31. Les résultats ont démontré qu’à J18, les titres sont faibles et hétérogènes pour l’IBDV, mais élevé et hétérogènes pour le NDV ; alors qu’à J31, ils sont élevés et assez homogènes pour l’IBDV, mais faibles et très hétérogènes avec 20% de sérum négatif pour le NDV. En effet, l’ajout de ces quatre additifs n’a pas induit d’effet immunomodulateur vis-à-vis des anticorps de la bursite infectieuse ; alors que pour la maladie de Newcastle,un effet immunostimulant positif a été enregistré chez les sujets qui ont été traité par le gingembre et la levure. Les résultats présentés dans cette étude laissent entrevoir le potentiel que pourraient avoir les substances bioactives en tant qu’additif alimentaire destiné à contrôler le statut immunitaire induit par la vaccination chez les volailles.
Mots-clés. Gumboro, Newcastle, virus, anticorps, additifs, immunostimulant, poulet de chair.
Etude 4 : FFET ZOOTECHNIQUE DE QUATRE ADDITIFS ALIMENTAIRES CHEZ LE POULET DE CHAIR (Gallus gallus)
Auteurs : E. AZEROUAL , A. MESFIOUI, B. BENAZZOUZ , A. EL HESSNI ET A. OUICHOU
Résumé
Les antibiotiques sont utilisés dans les élevages avicoles à caractère intensif de manières différentes avec des objectifs variables : curatif, métaphylactique, préventif ou comme promoteur de croissance. Toutefois, l'usage des antibiotiques dans l’aliment a fait l’objet de nombreuses critiques suite aux problèmes d’antibiorésistance, de résidus dans les denrées alimentaires, d’écotoxicité et d’allergies chez le consommateur. Actuellement, le recours à l’addition d’antibiotique comme facteur de croissance est très limité, voir totalement abandonné dans de nombreux pays. Certes, la restriction ou la suppression totale de l’usage de ces produits dans le secteur d’élevage intensif aura, sans doute, un impact négatif ; se traduisant par une baisse des performances, une augmentation du coût de production et une baisse de rentabilité. Ainsi, pour assurer une succession satisfaisante aux promoteurs de croissance chimiques, il est impératif de chercher des produits de substitution aux effets zootechniques similaires. Plusieurs stratégies alternatives ont été évoquées dont l’une d'elles consiste en l'apport oral d'additifs à base de substances bioactives en l’occurrence les plantes aromatiques et médicinales et les probiotiques. Le but de cette étude est de tester l’effet zootechnique de quatre additifs (antibiotiques, cannelle, gingembre et levure Saccharomyces cerevisiæ) chez le poulet de chair. L’expérimentation a été réalisée sur 500 poulets Ross répartis en 5 parquets. La durée du traitement a été de 10 jours, répartie en trois périodes : J6-J9, J13-J15 et J20-J22. Les résultats de cette étude ont pu ressortir que l’emploi de la levure Saccharomyces cerevisiæ a exprimé un effet positif sur le poids vif total (+5,3%) ainsi que sur le taux de mortalité (-3%), alors que le gingembre a démontré un effet notoire sur l’indice de consommation (-6,64%). Ces résultats, bien que préliminaires, ouvrent une voie de recherche intéressante pour l’usage des produits naturels à des fins zootechniques et thérapeutiques. Cependant, des études complémentaires sont nécessaires pour élucider les vertus pharmacologiques, toxicologiques, diététiques et organoleptiques de produits aromatiques naturels.
Mots-clés. Additif alimentaire; antibiotique, cannelle, gingembre, levure facteur de croissance; antibiorésistance; rendement zootechnique; poulet de chair.
Etude 5 : EFFET DE NEUF PLANTES AROMATIQUES ET MEDICINALES INCORPOREES COMME ADDITIFS ALIMENTAIRES SUR LE POIDS DE L’ŒUF
Auteurs : E. AZEROUAL , A. MESFIOUI, B. BENAZZOUZ , A. EL HESSNI ET A. OUICHOU
Résumé
Les œufs de consommation ont une place importante dans l’élevage moderne d’aujourd’hui. Leur consommation augmente de jour en jours, puis ce que ce sont source de protéines de référence d’excellente qualité, connues par leur haute valeur biologique. C’est un aliment que l'on retrouve dans de nombreuses préparations culinaires, pharmaceutiques, cosmétiques et autres. Or, dans ce type d’élevage, les éleveurs sont amenés souvent à traiter des poules malades ou à utiliser des antimicrobiens de manière préventive. Le péril de résidus dans la viande ou les œufs ne peut être donc évité. En outre, la présence de résidus risque de perdre au producteur une partie de son revenu, à qui s’ajoute la perte due au respect du délai d’attente considéré comme un temps mort, mal supporté par l’aviculteur. Ainsi, la recherche de solutions aux préoccupations de l’éleveur devient un impératif scientifique et un enjeu économique. Cette situation a poussé à la prospection d’autres pistes en l’occurrence celle des plantes aromatiques et médicinales (PAM) dont l’amélioration des performances de ponte peut être obtenue. A cette fin, des poules de génotype RhodeIsllandRed (n=168) ont été élevées au sol sur litière, puis placées pendant la période de production dans des cages à trois étages de type batterie. Les poules sont âgées de 20 semaines au début du traitement qui a duré 60 jours. Les PAM qui ont été administrées à en trois doses de 1%, 2% et 3% de la ration journalière sont composées de : cannelle (Cinnamomum verum), curcuma (Curcuma longa), fenouil (Fœniculum vulgar), fenugrec (Trigonella foenum-graecum), gingembre (Zinziber officinale), lin (Linum usitatissimum), millet (Milium effusum), poivre noir (Piper nigrum), romarin (Rosmarinus officinalis) et thym (Thymus vulgaris). L’analyse des résultats a montré que le poids moyen des œufs a augmenté avec l’âge des poules et ce quel que soit le traitement et la dose employée. Tous âges confondus et la dose utilisée, les plantes ayant enregistré le poids moyen d’œuf élevé sont : le romarin, le fenugrec, le gingembre et le mélange curcuma-poivre. De même, l’analyse de la variation du poids moyen des œufs en fonction des doses administrées (types de traitements et âges des poules confondus) a révélé une supériorité de la dose 3%, qui est significativement différente. Donc, un effet dose dépendant a été observé à ce niveau. En effet, les résultats préliminaires avancés dans cette étude sèment un climat optimiste aussi bien pour les éleveurs que pour la communauté scientifique. Outre, la connaissance à la fois de la pharmacodynamie et de la pharmacocinétique des principaux constituants de ces PAM sera essentielle afin de comprendre leurs effets bénéfiques en matière zootechnique et sanitaire.
Mots-clés. Plantes aromatiques et médicinales; additif alimentaire; poids de l’œuf; poule pondeuse.
la quatérieme intervention a été présenté par Mr El gdari surveillant général de l'IRTSE sur la formation par apprentissage des jeuns ruraux dans les métiers d'élevage, et le bilan des réalisations et perspectives du conseil de perfectionnement des établissemsnts de formation professionnelle agricole du réseaux Ghrab Chrarda Beni-Hssen.
les differents débats et questions posés ont accentués surtout sur la formation par appretisasge et la nécissité de revoir cette formation pour produire des lauréats de qualité qui peuvent participer eu dévleppoment du monde ruarl par l'amélioration des revenus des agriculteurs à travers l'augmantation de la productivité.
La journée a été cloturé par une lecture de télégramme de fidélité et d'obéissance envoyée à Sa Majessté Mouhamed VI Roi du Maroc
Instituts Royal des Techniciens Spécialisés en Élevage Fouarat Kénitra (IRSTEF)
- Le première établissement au Maroc dans la formation des techniciens spécialisés en aviculture;
- Le seul établissement au maroc dans la formation des techniciens spécialisés en ruminants et des techniciens spécialisés en qualité des produits animaux et d'origine animale;
. Les principaux missions de l'Institut:
- La formation par altérnance des technciens spécialisés en aviculture, des technciens spécialisés en ruminants, et des techniciens spécialisés en qualité des produits d'origine animale;
- La formation par apprentissage au profit des jeunrs ruraux dans plusieurs domaines , élevage, aviculture, bovin ovin caprin, quiniculture, apiculture...;
- la formation par apprentiisage des chevaliers dans le cadre d'une partenariat avec la société royal de l'encouragement des chevaux;
- la formation continu dans le cadre des sessions à courte durée au profit de des adjoints et fonctionnaires des services de ministére de l'agriculture
Tel de L'IRSTE: 0537386593 Email: irtsefouarat@yahoo.fr |
Younes GHMIROU
www.avicultureaumaroc.com